L' énigme de l'epsilon de Delphes

Le passé dévoilé.

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September 14, 2014 | History

L' énigme de l'epsilon de Delphes

Le passé dévoilé.

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This work is concerned with the enigma of the epsilon (E) which was carved at the entrance of the Temple of Delphes in ancient Greece. The author relates to a document produced by Professor Boris Rybak in "L'identité humaine" (1990, Michel Place ed., Paris), which traces the epsilon back to its Aegyptian Hieroglyphic source via the Proto-Sinaitic script and the ancient Hebrew script. The enigma dating 2.000 years back and evoked by Plutarch, may be considered solved (see the demonstration itself in the book) thus making a great contribution to science.

Publish Date
Language
French
Pages
51

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Edition Availability
Cover of: L' énigme de l'epsilon de Delphes
L' énigme de l'epsilon de Delphes: Le passé dévoilé.
1997, Dossiers d'Aquitaine et d'ailleurs
in French

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Book Details


Edition Notes

Cover title.

Errata slip inserted.

Includes bibliographical references.

Published in
Bordeaux

The Physical Object

Pagination
VII, 51 p. :
Number of pages
51

ID Numbers

Open Library
OL19158527M

Excerpts

[display of a figure extracted from « L’identité humaine » and « Contribution à l’étude de l’arbitrarité du signe », showing the main steps in the destructuration occurring from the hieroglyphs to proto-Sinaitic/proto-Cananean, then to ancient Hebrew, then ancient Greek].
Plutarque se demande pourquoi un E orne l’entrée du temple du plus célèbre oracle de Grèce. Cet epsilon remonte, dit-il, aux temps archaïques. Il avait d’abord été en bois, puis les Athéniens en offrirent un en bronze (749 avt JC), et Livie en donna un en or (71 avt JC).
Plutarque pensait que cet E était l’initiale d’un mot grec, et que, si ce mot était trouvé, l’énigme serait résolue.
Or, quel sens premier a le hiéroglyphe à l’origine de l’epsilon grec, représentant un personnage aux bras levés ? Celui d’un « cri de joie » ; joie de la communication avec le divin. Champollion aussi a compris la joie pour le sens de ce signe. Le personnage a les bras levés vers le ciel ; dans l’acception sacrée, cela signifie l’élévation de l’âme, la prière. C’était en effet la position de la prière chez les Hébreux, cf. Psaume 141 : «Que ma prière soit devant ta face comme l'encens, et l'élévation de mes mains comme l'offrande du soir».
Pensons au sens que donnent les Hébreux à leur « hé », ancêtre de l’epsilon: "souffle". Nous pouvons entendre ce é/ hé/ E en faisant pénétrer l’air dans nos poumons ou en le rejetant ; « hé » est donc bien le symbole du souffle, ici du souffle divin qui inspire l’être humain. Or à Delphes, que faisait Apollon ? Il inspirait des oracles à la Pythie : dans la tradition grecque, c’est grâce au souffle divin qu’elle accède à la pensée d’Apollon. Quel signe convenait donc mieux que l’E à l’entrée du Temple de l’oracle ?
Les Hellènes avaient perdu le sens originel de ces lettres étrangères dont dérivait leur alphabet: c’est grâce à la mémoire merveilleuse des descendants des Hébreux, et au tableau produit par l’éminent érudit : Boris Rybak, que j’ai pu saisir le fil conducteur.
added by msk.

gives the main lines of the demonstration.

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September 14, 2014 Edited by msk Edited without comment.
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September 14, 2014 Edited by msk Added new cover
April 30, 2014 Edited by msk Added new cover
October 21, 2008 Created by ImportBot Imported from University of Toronto MARC record