Légende bretonne qui attribue l'origine du dé à coudre à un pèlerin de passage chez une gente dame qui, pour payer la rançon qui retient son mari en Terre sainte, dut broder sans relâche, s'abîmant les doigts, ce qui tacha ses fins travaux d'aiguilles, et qu'une coquille d'escargot, remise en guise de remerciement, protégea la main jusqu'à la complétion de sa mission. [SDM].

Un récit narré dans une langue riche et poétique, au style soutenu, qu'accompagnent d'élégantes peintures faisant écho aux tapisseries médiévales, tant de par leur composition, intégrant de nombreux éléments de la nature, que de par leurs coloris naturels dont l'indigo ressort vibrant. [SDM].