Dans cet ouvrage, Jean-Claude Sillamy essaie de montrer que sa découverte de la théorie musicale des Babyloniens a été subordonnée à l'expérimentation sur des instruments de musique qui existaient déjà dans l'antiquité.
Cette étude expérimentale a permis de faire progresser la science de la musique, et le niveau des civilisations.
Pour en arriver à ses conclusions, Jean-Claude Sillamy s'est référé à des nombreux savants, musicologues, philosophes... qui ont été des phares pour l'humanité. La liste est longue... mais nous ne citerons ici que deux grands théoriciens arabes du Moyen Âge : Al-Färabi et Safiy-d-din Al-Urmani, de Bagdad. Ces savants jugent tous deux (à près de quatre siècles d'intervalle) la nécessité de fabriquer des cithares à pistes horizontales tendues de cordes à supports mobiles en ivoire ou en bois dur, pour contrôler et faire progresser la science de la musique.
Ces coursiers mobiles sont des générateurs de sons, micro-intervalles, intervalles, modes et échelles musicales, créateurs de progrès musical et de civilisation.