Fabien Lecours

Mon premier roman «Comme un chien dans un jeu de quilles», qui a été publié en 2005 par les éditions Atma, est le fruit d’une dizaine d’années d’écriture qu’il a fallut concilier avec la famille et un emploi à temps plein. Mon deuxième roman «Un drôle de pigeon», a été publié en 2008 par les éditions Pour tous. Un troisième attend impatiemment de faire son entrée sur le marché.

Ne soyez pas surpris si le style de mon roman vous bouscule un peu puisque ma plume a du chien. Par contre, ma plume est aussi un pince sans rire qui vous amusera même si parfois le rire reste un peu jaune. Alors succombez à me lire comme plusieurs ont fait jusqu’ici et, vous apprendrez ainsi à me connaître davantage.

C’est vrai, en passant je voulait terminer en vous annonçant que je suis diplômé en architecture de paysage à l’université de Montréal (1979) et je travaille au Ministère des Transports du Québec.

Et puisqu’en prenant femme, j’ai pris pays, je demeure maintenant à Cap-Rouge qui depuis peu est inclus dans la grande ville de Québec.

Salutations.

Au plaisir de vous voir!
Je suis né dans le village de Saint-Antoine-sur-Richelieu, Ce village fait partie d’une merveilleuse vallée agricole sillonnée par bien entendu la rivière Richelieu qui coule le long de quelques montagnes de la Montérégie.

Au fil des années, je me suis impliqué dans une foule d’activités au sein de la vie communautaire de mon village natal.

Je suis l’un des fondateurs de la bibliothèque municipale. J’ai assumé la responsabilité de l’organisation d’un festival d’été, de rallyes et d’expositions artisanales. J’ai trempé dans quelques pièces de théâtre amateur.

Toutes ces expériences m’ont permis de vaincre ma grande timidité.

Ma passion de l’écriture m’a accompagné dès mon jeune âge. J’ai toujours griffonné sur des petites feuilles de papiers des petites histoires et des poèmes.
Pour moi l’écriture, c’est aussi essentiel que de respirer. Impossible de résister, la main démange, il faut vider l’encre, griffonner le papier et multiplier les paragraphes.

L’écriture c’est un peu comme la vie

Il y a la naissance de l’œuvre. Au début, c’est bien difficile de deviner la nature du chemin qu’empruntera le récit. Puis, le style se précise et il accumule une maturité. Il y a les personnages qu’il faut apprendre à connaître, à aimer, à détester et à quitter. Parfois, la plume perd le contrôle, dérape, explore des nouvelles tendances qui débouchent sur la création de quelque chose de merveilleux. Il y a l’écoulement de l’histoire qu’il faut polir et polir à nouveau jusqu’à ce que le montage soit satisfaisant. Finalement, il y le doute de s’être trompé qui s’installe, la peur d’avoir raté un virage, le goût d’abandonner.

Mais par-dessus tout, il y a l’amour inconditionnel entre l’auteur et sa création. L’amour qu’il désire plus que tout au monde partager à part égal avec des lecteurs et des lectrices, les rendre heureux et heureuses, transmettre la magie de son imaginaire